vendredi 27 avril 2007
Quand les liens entre la classe politique et les medias...
mercredi 25 avril 2007
L'U.E. avant tout !
Réjouie de voir le retour "à la normale", l'UE n'a pas tardé à réagir : Barosso, président de la Commission, engage de nouvelles discussions et Merkel, présidente temporaire de l'UE sonde les chefs d'Etat. Le but est d'aboutir en juin (!) à une proposition de "compromis" (reprenant en fait la quasi-totalité des réformes institutionnelles du texte refusé par les Français). Ce calendrier de "blitzkrieg" avait été déjà annoncé et analysé par Gilles VARANGE dans le numéro de mars 2007 de Politique magazine.
Du bon usage des élections
"La campagne électorale peut susciter chez des royalistes une autre attitude
positive... Les trois stratégies électorales de Sarkozy, Royal et Bayrou sont, à
cet égard, porteuses de leçons."
Le premier a donné l'impression de quelqu'un capable de diriger l'Etat ; la
deuxième a repris à son compte les aspirations à de nouveaux engagements
"citoyens" ; et le troisième s'est posé en rassembleur dépassant les clivages.
Cela met bien en valeur une triple attente qui se rapproche de nos vues :
- un besoin d'autorité pour mener le destin collectif de la France
- l'attente d'une citoyenneté active donc d'une réelle représentation et d'une véritable décentralisation
- le désir de nouvelles moeurs politiques plus rassembleuses que diviseuses
Conclusion teintée d'optimisme réaliste :
"Le contexte est propice à l'annonce d'une politique qui soit un traité
d'espérance. Laissons aux fanatiques du suffrage universel ce qui leur
appartient : l'excitation aujourd'hui, l'abbattement des vaincus demain ou les
déceptions déprimantes des vainqueurs après-demain... Et utilisons ce temps pour communiquer la bonne nouvelle de notre projet national et royal."
mardi 24 avril 2007
Premiers bilans
Il faut d'abord rappeller que les dossiers les plus essentiels du pays sont laissés de côté : défense, dette ... Voir l'avis des Manants du roi.
De plus, la campagne permet de connaître les attentes de Français qui se rapprochent de nos vues. L'analyse de Bernard Pascaud sera bientôt commentée ici.
Les prochaines notes mettront en évidence les rapprochements sensibles des deux candidats sur des positions néfastes à la France
lundi 23 avril 2007
élection : rien à signaler !
Reste que encore une fois, les élections divisent les Français en deux (voire trois !) camps rivaux. Et le vainqueur aura beau jeu de se dire président de tous les Français, par son élection même, ce ne sera pas un fédérateur
dimanche 22 avril 2007
triste journée !
On va jouer l'avenir de la France à la roulette russe. Ca donne à réfléchir sur la pertinence même de ce mode de dévolution du pouvoir... Je me demande s'il ne vaudrait pas mieux, sinon supprimer, du moins modifier radicalement un scrutin.. qui s'apparente à un défouloir.
Et de rajouter l'influence des lobbys, des minorités, des corporatismes, le mirage Bayrou... Bref cette présidentielle "occulte la réalité politique au lieu de la refléter".
Malheureusement, Tillinac conclue en appellant à voter Sarkozy : on voit là un paradoxe extrême. Mais à tous ceux qui comme lui s'interrogent sur cette élection, nous leur conseillons d'ouvrir leur esprit au régime monarchique qui efface tous ces malentendus.
Monsieur Tillinac, encore un effort !
vendredi 20 avril 2007
une élection qui perturbe la France
De la politique en pure perte
jeudi 19 avril 2007
Max Gallo, les partis et le pouvoir
Et de décrire ce qu'est le pouvoir dans la république française : "Il faut gagner les élections. On veut s'accrocher au pouvoir. L'intérêt de parti, de groupe, de clan l'emporte sur l'intérêt général. On ment pour durer. Ceux qui s'y refusent -Mendès-France, de Gaulle- Sont renvoyés."
Une liste des déboires que connaît la France et qui seraient effacés avec la présence d'un élément stable à la tête de l'Etat !
De Villiers dans le système républicain
Si l'idée de dénoncer l'emprise de la démocratie d'opinion sur la politique française est pertinente, il est évident que se lancer dans l'élection présidentielle n'est pas du tout le moyen le plus efficace pour la faire passer !
l'intox au pouvoir
PARIS. Le personnel des services statistiques de l'Emploi manifestera aujourd'hui pour demander la non-publication des chiffres du chômage le 26 avril, entre les deux tours de la présidentielle, en raison de "la sous-estimation considérable du chômage" par ces statistiques.